Visites d’élevage


Dominique et Annick PATRAT Feins 14/05/2021

Nous avons profité de notre passage en Bretagne lors du week-end de l’Ascension, pour nous rendre chez Dominique et Annick PATRAT à Feins une commune située à 25km au nord de Rennes.

Dominique élève des Fauve de Bourgogne depuis 1988 et a adhéré à l’AELFB en 1989.

il a exposé ses premiers lapins en 1989 à l’expo de Cesson Sévigné (35) ou est organisé par l’AELFB un concours régional, il termina premier ex aequo avec Roland Leroux .Comme dit Dominique, c’était vraiment le fruit du hasard j’étais un novice .Guy Cretol président de l’A.E.L.F.B à cette époque , Serge Bugeaud et Roland Leroux m’ont apportés beaucoup à mes débuts .

Dominique a installé ses clapiers sous un bâtiment spacieux qu’il a construit lui même et qui est très bien équipé . Il possède une cinquantaine de cases équipées d’abreuvoir type Glou-Glou et de mangeoirs extérieures .

Il fait naître environ une quarantaine de lapereaux à l’année .

Dominique donne une ration journalière de granulés, mélangés à de l’orge, petits pois concassés, avoine et tournesol.

ses lapereaux ont du foin tous les jours, les adultes deux fois par semaine.

De nombreuses plaques exposées accrochées devant son bâtiment témoignent de la qualité de son élevage.

Nous avons passé une excellente journée avec Annick et Dominique malgré la pluie .

Encore merci à Annick et Dominique pour leur accueil et leur convivialité .

Sébastien PARHUITTE .


Sébastien PARHUITTE Alquines 31/03/2019

Bonjour, je m’appelle Sébastien PARHUITTE voici mon petit élevage de « débutant » que j’ ai commencé en 2016 , mon élevage comporte une vingtaine de clapiers pour l’instant, mais j’aimerais l’agrandir un peu par la suite.


Jean-Francois Et Ker-Ann FAYE Lanvallay 27/02/2018

Bonjour,  je m’appelle jean François Faye, j’ai 45 ans, je suis né à Feurs dans le 42 (Loire), de parents agriculteurs, l’élevage de lapin a commencé lorsque que j’avais 12 ans, mon père qui faisait du veaux de batterie  m’avait acheté 100 cages sur grillage avec alimentation automatique, mes lapins étaient du californien et du blanc de nouvelle Zélande, élevés principalement pour la chair, la rentabilité comptait plus que l’animal en lui-même à l’époque, j’ai  arrêté à mes 18 ans, lorsque que j’ai intégré l’école hôtelière. Puis après avoir passé plusieurs années à travailler aux quatre coins de la France, j’ai posé mes valises en Bretagne, à Brie une commune proche de Rennes. C’est alors que l’idée me vint de reprendre une lapine notamment une fauve de Bourgogne, achetée chez un particulier, certes elle n’avait pas tous les critères de la race mais elle nous a permis à moi et surtout à ma fille Ker-Ann de tomber sous le charme de cet animal ! Alors l’idée de la faire reproduire a été une évidence. La première rencontre avec un éleveur de fauve de Bourgogne se nommant Didier à Feins, avait bien voulu nous aider pour notre lapine, malheureusement pour l’anecdote elle ne prendra pas ! mais c’est surtout par le plus grand des hasards que nous avons fait la rencontre inattendue de Annick et Dominique Patrat qui va tout changer. D’abord, il a offert à ma fille sa première vrai fauve de Bourgogne, les premiers conseils : les achats des clapiers, ensuite viendra un mâle et deux femelles achetés au championnat de France à Nevers. La première année, nous avons eu que 4 lapereaux !  Un fiasco, des erreurs de débutant, la déception pour moi et ma fille, malgré tout Dominique m’a proposé de les emmener au championnat de France à Montluçon. Quand Dominique m’a téléphoné le vendredi après-midi pour nous dire que nos deux mâles avaient fait 96 et qu’ils étaient respectivement 6 et 13 meilleurs du concours mâles et que les deux autres avaient fait 95, ce fut une belle surprise et que du bonheur. Puis après suivront les championnats de France d’Aurillac ainsi que Châtellerault.  

Après un déménagement à Lanvallay en 2016, notre élevage compte, aujourd’hui, 22 clapiers, suffisant pour le moment avec mon travail dans la restauration, nous avons deux mâles et 3 femelles issus de souche de Bernard Foussat, Serge Bugeaud, Éric Ropars et Dominique Patrat. En ce qui concerne l’alimentation, elle se compose : de granulés, orge, avoine, maïs, lin, tournesol à des doses variables, du foin tous les deux jours, et de temps en temps des carottes en guise de friandise. La litière est renouvelée toutes les semaines et l’eau deux fois par jour. Je sais, c’est exagéré mais le bien-être de l’animal est très important pour nous, d’ailleurs, ils ont tous un nom. Pour la vaccination, j’utilise Dercunimix (mixo et vhd) et Filavac (vhd 2), aussi du métoxyl (coccidiose) et Capizol (vermifuge) et du vinaigre de cidre en préventif dans l’eau. Le sevrage se fait à 10 semaines. Dès l’âge de 5 mois les lapins sont sortis deux fois par semaines jusqu’au concours, l’aboutissement d’une année de travail, ainsi qu’un moment d’échange et de complicité avec ma fille Ker-Ann, le tatouage se fait en général vers leurs 5-6 mois.

Nous avons également une page sur FACEBOOK » élevage du Fauve de Bourgogne « 

nous comptons 235 membres de tous les horizons, France, Belgique, Espagne, Angleterre, Pologne, et même jusqu’en Roumanie cette page vous propose des photos, des conseils, et de l’entraide et surtout de belles rencontres entre passionnés!

Voilà je vous dit a très bientôt à la Rencontre Nationale des lapins fauves de Bourgogne du 17 et 18 novembre 2018 à AMBAZAC (87).

J’en profite pour remercier Annick et Dominique Patrat qui sans leur aide rien n’aurait été possible.

AMICALEMENT

Jean François et Ker Ann FAYE.